Lignes écrites au cœur de la nuit… et pour vous.
Les lire dans l’instant.
Dans l’instant où je les concevais.
Pour mieux être au diapason.
Ne dites rien ?
N’exprimer pas ce trouble
Qui s’empare de vous ?
Je le ressens si fort.
Qui suis-je ?
Qui sommes-nous ?
Pour nous émouvoir ainsi.
Pour nous troubler ainsi.
Mes mots sont pour toi.
Ils sont aussi pour moi.
ils me caressent comme ils te caressent.
Saurais-je te caresser ?
Doucement, silencieusement, lentement, longuement.
Sauras tu leur répondre,
Doucement, silencieusement, lentement, longuement.
Saurons nous répondre , deviner,
trouver sans même chercher le chemin de nos souhaits,
le chemin de nos rêves.
Et le temps n’existera plus.
Attente…
Attente de caresse…
Voici pour toi chère ange des…
Caresses.
Bien sure, si nous nous sentons si bien
c’est que nous sommes protégés
j’ai déjà pensé à cette hypothèse du changement de registre !
j’ai déjà imaginé des scénario !
mais je me sens si bien
dans ce dialogue qu‘il me faudra tout d’abord
l’épuiser avant de trouver
l’envie de cheminer différemment !
Oui je vous regarde,
oui, je vous touche même,
dans mes rêves ;
j’imagine un lit, non fait,
regorgeant de votre odeur,
et vous y paressant langoureusement !
Aucune envie de vous lever !
Même pas pour aller chercher ce message quotidien !
rien dans la tête, sinon des rêves !
Le regard se porte tour à tour
sur tous les objets familiers de la chambre !
une chaise sur laquelle repose une chemise de nuit,
enlevée juste au moment de se glisser
dans les draps ! Un tableau moderne censé représenter
quelque scène pastorale !
Les rideaux fermés qui laissent à peine passer
la lumière du jour !
La table de nuit et ce bel objet tout rond ;
et ces rêves, ces pensées,
cette folle envie de savoir comment
l‘autre découvrira ce corps !
ce corps repu de quelques folles caresses !
Des mains se joignent soudain
et se réchauffent l‘une l’autre
du froid du petit matin
et l’une s’en va vers le sein gauche pour le tâter,
l’empaumer !
l’autre glisse sur le ventre
tourne autour du nombril,
et continue sa course vers le centre du monde !
lieu béni des dieux,
d’où naissent tous les désirs ;
et le souvenir d’un amant audacieux qui
le premier vint goûter de ses lèvres chaudes
le suc de la rose !
lui !
Osera-t-il cette caresse si avidement attendues !
Deux pieds au fond du lit qui se touchent
et s’esquivent !
rares sont ces moments de plaisir solitaire » !
que l’on accepte de partager !
je vous imagine souhaitant subitement les partager, avec moi: !
Lui et moi sommes faits pour faire l’amour ensemble, pour nous amuser ensemble. Nous nous rencontrons à quelques reprises et ne profitons que du meilleur des deux côtés de la vie de couple. Avec lui, c’est fort, érotique, cochon, sensuel, lubrique. J’adore cet homme. Ce qui me passionne, c’est son mutisme lorsqu’on baise, sa façon de réagir lorsque je le regarde, et à le regarder, on veut se l’approprier, on veut sa bouche, ses mains, sa verge, son poids, son énergie, ses saillies, ses couilles, son jus. Mmmmm
Je suis toujours en manque de lui ; à peine nous sommes nous quitter que je le vois partout, que je le veux lui, encore, que je veux toucher ses hanches, ses bras, je veux sucer son sexe de ma bouche avide de son sperme… D’ailleurs, il vient de me fixer un rendez-vous… dans une heure. Cela me laisse peu de temps pour me préparer puisque j’ai tout de même besoin de 20 minutes pour me rendre chez lui. J’ai à peine le temps de me laver et de mettre des vêtements propres… Culotte ? non pas de culotte… soutien ? Non pas de soutien… si je pouvais j’arriverais nu chez lui… En repassant dans la chambre j’attrape mon gode, le plus gros… celui qui vibre tellement fort. Finalement, vingt et une heures tapantes, j’arrive chez lui. Inutile de sonner, je connais le chemin.
J’entends des bruits dans la salle de bain, des bruits étouffés, je comprends qu’il termine de se laver… la porte est fermée. Je suis excitée de savoir qu’il ignore encore mon arrivée, ce qui m’inspire un petit scénario de pseudo agression. Un à un je laisse tomber mes vêtements… pas difficile, un chemisier et une jupe Me dirigeant vers la porte, je me fais mon scénario … je suis entré par effraction… je vais donc jouer le jeu jusqu’au bout. J’ouvre donc la porte de la salle de bain. Il pousse un cri de surprise en me voyant entrer, ce qui me confirme qu’il ignorait totalement mon arrivée. Cela me fait sourire, mon plan me plait. Il arrête donc de se sécher et laisse tomber la serviette sur le sol. Il me regarde. « Ça va dis-moi ? comme tu es belle toute nue » Je ne lui réponds pas… je ne réponds pas… je le contemple… Lui aussi est beau tout nu.
Il s’approche visiblement avec l’intention de m’embrasser. Cela ne fait pas partie de mon plan, alors avant que ses lèvres ne rejoignent les miennes, j’agrippe son sexe en le repoussant. Je n’avais jamais tenu une verge de cette façon, je la trouve molle et souple mais soudainement, elle durcit et s’allonge… me prend l’envie de me la mettre tout de suite dans mon vagin… Mais je perdrais mon scénario… Je reviens donc à mon idée d’agression… Je lui fixe les yeux pour qu’il comprenne qu’il est ma proie. Je maintiens la pression sur sa verge et le pousse contre le mur. Son regard incertain, un mélange de peur, d’incertitude et d’excitation me fait couler sur le champ. Le fait qu’il ne se débatte pas me permet de croire qu’il aime la situation. Toutefois, je ne voudrais pas que l’agression ne soit trop agréable. Je dirige mes lèvres vers les siennes et l’embrasse telle une femme en manque au retour de son pirate de mari. C’est moi qui embrasse! Je me sens vraiment obsédée par mon scénario et par son corps. Je le sens si désemparé que j’en profite pour aller plus loin. Je me demande jusqu’où il me laissera aller, à quel moment il me criera que c’est trop.
Je glisse ma main libre le long de sa taille jusqu’entre ses cuisses. Je m’appuie sur son dos pour le contraindre sur le mur et je soulève sa jambe sur ma hanche. Je sais que dans cette position son anus est béant et juste à y penser je suis excitée. Ses yeux sont tel un chevreuil ébloui par une forte lumière… j’aime mon rôle.
Je ne relâche pas sa verge… Elle passe de dur à rigide. Il bande comme un turc, Ggrrrrrr… j’aime. À ce moment je prononce mes premiers mots « Tu as envie que j’abuse de toi mon grand, tu as envie de te sentir pénétré, rempli… que ton anus te fasse mal de plaisirs » je me surprends, je n’ai jamais parlé de la sorte à un homme, surtout pas à lui. Au même moment, je m’appuie plus fort sur lui pour m’assurer de demeurer en contrôle et j’enfonce deux doigts dans son cul. J’explore son anus à ma guise…
Sa verge vibre dans ma main, et j’essaie de la branler en écartant mes doigts et refermant mon poing. J’aime sentir cette chair obéir à mes caresses, j’aime le sentir vibrer au son de mes mouvements… et j’aime aussi le faire languir. Ainsi, au moment où je sens que la caresse lui plait, je retire mes doigts et le laisse pantelant. Je lui indique donc mes intentions « Ce que je désire t’enfoncer mon gode en toi, je veux te voir jouir pour moi… regarde comme il est beau ce gode… mouille le avec ta bouche. » L’excitation me rend plus forte que je ne l’imaginais, je le trimbale ainsi vers le séjour, sans même forcer, cherchant un endroit parfait pour poursuivre mon plan. Je lui enfonce le gode dans la bouche… J’ai soif de son anus et le fauteuil au fond de la pièce voisine est l’endroit parfait. Je le couche sur le ventre, son petit cul en l’air afin d’être à mon aise pour le déguster. Il est si beau, je ne peux m’empêcher de prendre une pause pour le regarder. Il tient à peine en place, je le vois se tenir sur la pointe de pieds pour ne pas rouler. Je l’imagine positionné ainsi sa croupe qui s’offre, à moi telle une pièce de viande juteuse juste à point. Je le caresse, sa peau est douce, ses jambes sont magnifiques.. Je les embrasse du bas vers le haut, ayant pour cible son postérieur offert et béant…
Une jambe à la fois, je la positionne sur mes cuisses, lui permettant de se déplacer plus facilement… À ma grande surprise, il demeure dans la même position, ses muscles complètement tendus. J’aime le galbe de ses hanches, la fente de ses fesses qui laisse entrevoir son petit trou sombre, petit trou que je n’ai jamais osé abuser… Je l’agrippe par la taille et me met à lui lécher l’intérieur de la pomme de ses fesses, je le positionne plus bas sur ma langue bien dressée… humm « j’adore parcourir ton cul ainsi ouvert à mes envies ». Je veux être partout à la fois, je danse de haut en bas guidant son corps sur ma langue. Je m’attarde sur son anus, tentant d’y faire entrer ma langue fouineuse. Le simple fait qu’il ne se débatte pas m’excite encore plus. C’est à ce moment précis que ses fesses se referment sur mon visage, me saoulant du coup de ce délice des dieux. Tantôt il gémissait, maintenant je l’entends marmonner « Prends-moi… Baise-moi maintenant! Je veux que tu me défonces ! »